Actualités
Une démarche participative à Meulan pour un nouveau skatepark
Jusqu’au 30 juin 2024, la municipalité de Meulan-en-Yvelines lance une démarche participative pour la conception d’un nouveau skatepark sur le ville, à travers une consultation publique. La ville de…
Visite du Marché de l’Europe 2024 à St-Germain-en-Laye
Samedi 4 mai 2024, une nouvelle édition du Marché de l’Europe ou Européen s’est tenue sur la place du Marché-Neuf à Saint-Germain-en-Laye sous l’impulsion de la mairie et de la Maison de l’Europe…
Le Triathlon des Mureaux fête les 40 ans du Trinosaure avec défi
Dimanche 5 mai 2024, le Trinosaure, le club de Triathlon des Mureaux, qui fête ses 40 ans, organisait l’édition 2024 du Triathlon des Mureaux. Les épreuves se sont déroulées sur l’Île-de-Loisirs du…
« Votre cœur de ville s’anime » aux Mureaux : La Brocante du centre-ville
Samedi 8 juin 2024 de 8h à 18h, dans le cadre de « Votre cœur de ville » s’anime est organisé la brocante/braderie du centre-ville des Mureaux de 8h à 18h. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au…
Vide grenier du Paradis 2024
Dimanche 2 juin 2024, la ville de Meulan-en-Yvelines organise son traditionnel vide-greniers du Paradis de 8h à 18h dans le quartier du Paradis, Rue de la Ferme du Paradis. Les inscriptions sont…
Journal des 2r : 01/05/2024(GPS&O, Les Mureaux, Porcheville, Triel, Vaux, Verneuil, Vernouillet, services publiques, pop, culture, sports…)
Edition de mai 2024 du « Journal des 2r » en vidéo, qui a été enregistrée dans le studio de la Péniche à Triel-sur-Seine, présenté et réalisée par Damien Delerin. Cette édition revient sur les…
Triel et son événement littéraire, Livres en Seine
Les 27 et 28 avril, le salon « Livres en Seine » a confirmé le rôle et la place de la littérature régionale dans la Vallée de la Seine. Malgré la pluie du samedi, les 25 auteurs ont trouvé leur public…
18e Gargantuades à Maurecourt, édition 2024
Certes, la pluie et la faiblesse d’affluence ont affecté le moral des commerçants présents à cette 18e édition de la gastronomie et de la transhumance dans la bonne ville de Maurecourt. Après la…
La saison des brocantes s’ouvre : visite de celle de Conflans
Ce dimanche 28 avril 2024 fut une journée chargée en brocante et vide-greniers sur le territoire de la Communauté Urbaine Grand Paris Seine&Oise. Ce dimanche peut être considéré comme celui de…
Activités physiques, handicaps et santé au cœur de la journée « Bouger pour ma santé »
Mercredi 24 avril 2024, au Stade Léo-Lagrange des Mureaux fut organisée la journée « Bouger pour ma santé » par le CCAS et le service des Sports des Mureaux, avec l’appui de nombreuses associations…
L’Hautil : la barrière de la discorde
Comment créer une zizanie sur l’Hautil ? Hé bien le Conseil municipal de Maurecourt s’est chargé de la question ! Comment ? En décidant la fermeture (sic) définitive de la route qui relie sa commune au hameau de l’Hautil !
Sous l’ancien régime il y avait les lettres de cachet (signées par le roi) prototypes de l’arbitraire qu’abolit la Révolution de 1789. Maintenant parfois on ferme une route. Avant le 15 février les habitants de l’Hautil et les usagers empruntaient une route séculaire permettant de rejoindre un carrefour sur la RD 22 qu’on appelait jadis « carrefour de la Croix de Fer », route qui va jusqu’à la petite commune fort sympathique de Maurecourt . C’est fini. A partir du 15 février 2021 «… elle sera fermée définitivement aux véhicules motorisés… »
Les Hautillois apprécient tant à l’aller qu’au retour ce cheminement naturel, étroit et si bucolique. Mais ils ne sont pas les seuls car avec l’urbanisation locale et la privatisation des parkings du RER de nombreux autres automobilistes (environ 900‑1000 par jour) empruntaient cette route pour aller et revenir vers fin d’Oise et au delà, un raccourci bien connu, les autres itinéraires (Jouy-le-Moutier et Chanteloup-les-Vignes) étant saturés . Ainsi ils le seront encore plus. A qui on dit merci ?
Et les commerçants maurecourtois sont-ils contents ?
Bien sûr les voitures passent devant quelques vielles maisons parfois restaurées qui n’ont pas bougé depuis des siècles… bien sûr des chicanes dangereuses ont poussé ici ou là… bien sûr un stop stupide a fleuri au niveau d’un petit carrefour sans visibilité (et sans aucune voiture car elles vont dans l’autre sens…unique). Les quelques voitures de riverains sont bien garées à droite, à gauche, chacune dans sa case réglementaire. Toujours est-il qu’après quelques croisements gérés au ralenti, l’automobiliste arrive en plein milieu de la place villageoise : la pharmacie, le boucher-traiteur, l’église, la mairie, la poste… tout est là, accueillant le chaland pressé mais comblé. Pas de grande surface, pas de tentations devant des vitrines affriolantes de commerces non indispensables. Le commerce de proximité s’est maintenu et voudrait prospérer.
Aux quelques commerces cités plus haut s’ajoutent ceux installés à proximité (tabac-journaux, boulangerie, fruits & légumes, fleuriste, et même une brasserie, une banque et une quincaillerie, rendez-vous bien venu des bricoleurs…). Prospérer encore ? Sûrement mais moins bien… Tous vont perdre définitivement un % de chiffre d’affaire, phénomène dont la CODIVxx n’est pas la cause. Ils ne doivent pas être contents (certains seraient furieux selon la rumeur !) mais qu’importe, le principe de précaution, l’appréciation d’un présumé danger constaté sur la route (éventuel effondrement de carrière et / ou présence d’un front rocheux en bord de route pouvant causer des chutes de pierres…) condamnent ce passage à l’automobiliste. Un bon moyen de diminuer le nombre de voitures… en les envoyant chez les autres.
Une route vraiment trop passante ?
Vraiment interdite à tous ? Que nenni ! Tôt ou tard quelque risque-tout (surement équipé de casque ou de cuirasse) essaiera de passer (comment ? à pied ? en voiture ? en contournant la barrière ? avec un pass ou autre ? ). Répression à prévoir… On ne répare pas on interdit et puis on réprime. Et la maison qui est près du lieu « à risque » depuis des décennies se trouve-t-elle hors du principe de précaution ? Bien sûr que les aléas des fronts rocheux qui sont techniquement réparables ne sont qu’un prétexte car on peut se poser la question de la présence, autorisée par la mairie de cette maison habitée sous le front rocheux situé à quelques mètres de l’aléa fort !
Complaisance démocratique
Ceci parait depuis le début une décision « de confort » car ce n’est pas un problème qui paraît techniquement insurmontable mais un prétexte utilisé par les élus communaux pour justifier la fermeture de cette route jugée « trop passante » depuis des années par certains riverains. La préservation du confort de quelques uns prime, semble-t-il, à Maurecourt sur l’intérêt général des non-Maurecourtois surtout s’ils sont automobilistes de passage.
Croâ, croâ…
Du positif : la fermeture de cette route va sauver des vies !
En effet, chaque année des centaines de batraciens y étaient écrasés. Les migrations de batraciens, les nuits de printemps étaient parait-il un vrai massacre quand grenouilles et crapauds traversaient la route pour rejoindre leurs lieux de ponte au niveau du bois situé un peu plus loin. C’était une hécatombe et on les trouvait au matin réduits à l’état de crêpes en nombre incalculable. Maintenant tout va bien. C’est fini.
Réaction à l’article paru dans le J2R :
Le 17 février 2021 11:07 nous (j2r) avons reçu la réaction suivante :
Envoi de Christian Le Goff à J2R (via Facebook)
Monsieur Claude Barouh, vous qui écrivez cet article, vous êtes sans doute un géologue
expert .
Merci donc de nous démontrer scientifiquement la véracité de vos allégations .
On le voit chaque jour sur les chaines commerciales de télévision, on a en France pléthore
de médecins infectiologues.
Monsieur Barouh du Journal des deux rives , vous imitez ces faux spécialistes sur un sujet
différent , celui de la géologie
Comme trop de journaleux votre but semble être simplement de créer le buzz.
Si ce n’est pas le cas, indiquez nous vos formations sur ce domaine et expliquez nous votre
raisonnement en indiquant vos sources d’information.
Réponse du 17 février 2021
Bonjour et merci de lire le Journal des deux rives.
Vous avez raison de formuler vos reproches car vous avez lu l’article mais pas comme il a
été écrit. J’ai du mal m’exprimer. Le thème est : la satisfaction et la préservation de l’intérêt
particulier de quelques riverains électeurs au détriment de l’intérêt général d’usagers
anonymes souvent clients de vos commerçants.
En effet, ce qui est gênant dans la décision Maurecourtoise c’est son aspect réducteur : s’il
y avait danger imminent pour l’usager c’est en faisant des travaux de réparation qu’ils
disparaitraient (des subventions départementales existent, il n’y a qu’à les demander et pour
les obtenir, négocier). De plus, toutes les infos citées ont été extraites des documents qui
m’ont été envoyés, (à la lecture ils n’imposent pas l’interdiction qui a été décidée
collectivement en Conseil municipal) ces documents méritaient d’être lus attentivement et
leurs recommandations appliquées. Exemples :
Pour le CEREMA « le risque aléa est qualifié de moyen… » Et page 15 de votre « spécial
chantier » on peut lire : « Des travaux et des restrictions d’accès semblent donc nécessaires
pour garantir la sécurité des personnes et des biens dans ces zones qui feront l’objet
d’études particulières afin d’obtenir un niveau de détail plus important et notamment
d’identifier et de dimensionner les travaux de confortement à réaliser.
Il a été choisi de ne pas entreprendre ni études particulières ni travaux de consolidation. Je
maintiens donc la conclusion de mon article (léger) dont la teneur aurait pu être beaucoup
plus sévère et polémique mais j’ai trop d’estime vis-à-vis des Maurecourtois pour en
rajouter. Si d’autres médias, associations, usagers lésés etc. ont envie de polémiquer ou
plus, tant pis pour vous, ce ne sont pas eux qui ont déclenché la discorde, ils sont plutôt
victimes de cette décision bien peu démocratique.
Bien cordialement et continuez à lire « Le journal des deux rives »
Claude Barouh
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