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Aubergenville : un salon du livre réussi
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Une balade des Lumières 2023 très nocturne et à vivre
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1ère semaine du deuxième Festival de l’emploi et de la création d’entreprise aux Mureaux
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Prévisions de la RATP pour la journée de grève contre la réforme des retraites du mercredi 15 mars 2023
Mardi 14 mars 2023, dans le cadre d’un mouvement social national interprofessionnel contre la réforme des retraites, la circulation des trains va rester perturbée le mercredi 15 mars 2023 sur…
Championnat de France de Breaking aux Mureaux : Battle inter-régionale Île-de-France, Normandie et Centre Val ‑De-Loire
Samedi 1er avril 2023, de 18h à 20h30 au COSEC Pablo-Néruda à Les Mureaux, sont organisées des qualification du Championnat de France de « Breaking » par le Comité Régional IDF de la Fédération…
Trois réunions publiques de la NUPES dans les Yvelines autour de la réforme des retraites et les transports
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Échange scolaire entre les collégiens des Mureaux et d’Annweiler am Trifel
Du 6 au 10 mars 2023, grâce à l’action des collèges Paul-Verlaine et Jules Verne des Mureaux, la participation de l’Île-de-Loisirs du Val-de-Seine, à Verneuil-sur-Seine, et le financement du Lions…
Réunion publique autour de la réforme des retraites à Chanteloup-les-Vignes
Vendredi 17 mars 2023, une réunion publique sur le sujet de la réforme des retraites est organisée par de la Nupes Canton de Conflans et de la Table Ronde de la Gauche de la Confluence à partir de…
Remise du premier Prix des Plurielles à Versailles : Siham Yara Bachir primée
Mercredi 8 mars 2023, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, le Prix des Pluriels a été remis au Grand Trianon du Château de Versailles. Quatre femmes ont été récompensées…
Le(s) Grand(s) Paris de notre nouveau territoire
Au‑delà des questions, qui font déjà partie du passé, sur la justification du périmètre de notre intercommunalité, certains s’interrogent sur sa dénomination. Dans un prochain article, nous étudierons plus en détails le retour de la « Seine et Oise ». Dans celui-ci, nous cherchons les raisons du choix de l’expression « Grand Paris », dont l’apparition n’est pas récente. Nous les trouverons pas très loin, dans l’OIN qui a préfiguré notre territoire. Jusqu’où s’étendra géographiquement le Grand Paris ?
Vous rappelez-vous les débats, en 1967, pour le choix du nom du centre commercial qui allait être le deuxième plus important de France lors de son ouverture, deux ans plus tard ? Il se construisait au Chesnay, au sein d’un ensemble de 37 immeubles résidentiels. Leur promoteur, le groupe Balkany, avait décidé d’appeler cet ensemble PARIS 2. Nous pouvons lire dans La lettre de Parly 2 n° 54 de mars 2004 (1) : « Quelque temps plus tard, les responsables de la construction et du plan d’Union Soviétique vinrent observer le projet. Ce parrainage fut suivi d’articles élogieux de la Pravda, au moment où une délégation du Conseil de Paris accompagnait le Général de Gaulle à Moscou. Les Russes parlaient beaucoup de PARIS 2 pensant qu’il s’agissait de la nouvelle capitale de la France ce qui déclencha la ire des élus parisiens. Ceux-ci menacèrent d’entamer un procès. Bien que Paris fut décliné de moult façons : Paris Pressing, Paris Parfums, Paris Plage… Il fut décidé de modifier le nom de l’ensemble immobilier, ce fut l’occasion d’une belle campagne de publicité, où fut évoquée l’idée de transformer PARIS 2 en PARADIS 2. Mais ayant froissé les autorités temporelles, le promoteur ne voulut point offenser le spirituel ; c’est ainsi, en analogie avec Marly plus proche, que PARLY 2 fut choisi. »
ORIGINE DU GRAND PARIS ET SES EXTENSIONS
Pourquoi les élus de la Métropole du Grand Paris ne se sont-ils pas opposés au fait que le nom de leur territoire soit repris dans celui de la communauté urbaine qui devait s’appeler Grand Paris Seine Aval ? Ils n’ont pas eu la possibilité de le faire, les deux intercommunalités ayant été créées simultanément, le 1er janvier 2016 !
La Métropole du Grand Paris rassemble la ville de Paris et 130 communes de la petite couronne, qui constituaient autrefois le département de la Seine ainsi que sept communes de la grande couronne ; il est tout récent mais une autre intercommunalité avait déjà intégré son nom dans le sien : Grand Paris Seine Ouest. Celle-ci, regroupant 8 villes de Marnes-la-Coquette à Boulogne-Billancourt et Vanves depuis le 1er janvier 2010, est devenue un territoire de la Métropole du Grand Paris. Bien qu’elle n’existe plus, son nom abrégé GPSO est toujours utilisé pour désigner ce territoire ; son nom de domaine Internet agglo-gpso.fr ne peut pas être repris : notre intercommunalité s’est constituée non pas comme une comme une communauté d’agglomération mais sous le statut de communauté urbaine.
Rappelons que la première extension de la ville de Paris s’est faite en 1860, suite à la loi du 16 juin 1859, dite loi Riché du nom de son rapporteur ; celle-ci portait sur l’extension des limites de Paris jusqu’à l’enceinte de Thiers, supprimant onze communes suburbaines du département de la Seine. Paris est devenu un département le 1er janvier 1968, en application de la loi du 10 juillet 1964 relative à la réorganisation de la région parisienne. Les autres parties du département de la Seine, entièrement enclavé dans celui de la Seine-et-Oise, sont alors devenues les départements des Hauts-de-Seine, de Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Le département de la Seine-et-Oise a alors été découpé pour constituer les départements de l’Essonne, du Val-d’Oise et des Yvelines.
La notion de Grand Paris est, toutefois, plus ancienne. La mission de préfiguration de la métropole du Grand Paris mentionnait, sur son site Internet (2), que Napoléon III avait été, en 1860, à l’origine du premier projet de Grand Paris. Trop ambitieux, celui-ci qui se serait étendu de Saint-Germain-en-Laye à Marne-la-Vallée n’avait pas été retenu par le Baron Haussmann avec lequel l’Empereur avait entrepris la reconstruction de Paris. Les deux villes délimitant ce Grand Paris sont devenues, en 1977, des extrémités de la ligne A du RER, l’une des lignes de transport régionaux les plus fréquentées du monde.
Lorsque Nathalie Kosciusko-Morizet avait l’ambition de présider la Métropole du Grand Paris, se plaçait-elle dans la lignée de l’un de ses arrière-grands-pères. C’est à André Morizet, maire de Boulogne-Billancourt, qu’avait été confiée, en 1936, la mission sur la réforme administrative du Grand Paris. Considéré comme un visionnaire, donnant à sa ville son nom actuel et un programme novateur d’urbanisation et de modernisation, il évoquait le Grand Paris, en 1932, dans un livre intitulé Du vieux Paris au Paris Moderne. Il a été nommé président du Comité supérieur d’aménagement et d’organisation générale de la région parisienne, en 1936, par le gouvernement du Front populaire mais la guerre a perturbé les projets autour du Grand Paris.
En 2008, après la création du secrétariat d’Etat au développement de la région capitale, confié à Christian Blanc, le nom « Grand Paris » a été utilisé, avec des parenthèses qui nous ont inspiré celles du titre de cet article, pour une consultation lancée par le Président de la République, Nicolas Sarkozy : « Grand Pari(s) de l’agglomération parisienne – consultation internationale pour l’avenir du Paris métropolitain ». Dix équipes d’architectes et d’urbanistes ont alors réfléchi afin de produire des propositions stratégiques pour le développement de la métropole parisienne dans les 15 années suivantes. Les 10 scénarios résultant de cette consultation ont été présentés, en avril 2009, dans l’exposition Grand Pari(s) à la nouvelle Cité de l’architecture et du patrimoine. A l’occasion de son inauguration, Nicolas Sarkozy a fait un discours sur le Grand Paris (4), déclarant notamment : « Le Grand Paris, ce n’est pas seulement l’élargissement des frontières de Paris. Le Grand Paris, c’est Paris qui veut jouer un rôle dans l’économie européenne et dans l’économie mondiale. Le Grand Paris, c’est Paris qui veut être la carte maîtresse de la France en Europe et dans le monde. Le Grand Paris, c’est la volonté de penser le développement de Paris dans une perspective beaucoup plus large que les limites du périphérique, que les limites de la Petite Couronne, beaucoup plus large que celles de l’Ile-de-France. Le Grand Paris c’est la volonté de penser l’avenir de Paris dans le cadre d’une stratégie d’aménagement et de développement des territoires à l’échelle nationale. » Le Président de la République a évoqué l’extension du Grand Paris dans chaque direction. Pour la nôtre : « A l’Ouest, autour de la Cité financière de la Défense, des services aux entreprises à haute valeur ajoutée et l’université Dauphine qui s’y installera d’ici à cinq ans. A l’Ouest encore la vallée industrielle de la Seine autour du port d’Achères et du pôle universitaire de Cergy-Pontoise. Son avenir est dans les éco-industries et la logistique. »
Dans la foulée, a été promulguée, le 3 juin 2010, une loi sur le Grand Paris, mettant l’accent sur son futur réseau de transport. Le début de son article premier précise : « Le Grand Paris est un projet urbain, social et économique d’intérêt national qui unit les grands territoires stratégiques de la région d’Ile-de-France, au premier rang desquels Paris et le cœur de l’agglomération parisienne, et promeut le développement économique durable, solidaire et créateur d’emplois de la région capitale. Il vise à réduire les déséquilibres sociaux, territoriaux et fiscaux au bénéfice de l’ensemble du territoire national. Les collectivités territoriales et les citoyens sont associés à l’élaboration et à la réalisation de ce projet. Ce projet s’appuie sur la création d’un réseau de transport public de voyageurs dont le financement des infrastructures est assuré par l’Etat. » Ce réseau sera le Grand Paris Express, approuvé par un décret d’août 2011.
En 2012, a été élu un nouveau Président de la République, François Hollande, qui a nommé un nouveau Premier ministre, Jean-Marc Ayrault. Celui-ci, lors d’un discours à l’université de Marne-la-Vallée, a introduit, l’année suivante, l’expression « Nouveau Grand Paris » (5). Cette dénomination ne correspondait, en fait, qu’au futur réseau de transport.
C’est, toutefois, le transport par voie fluviale qui semble constituer l’un des principaux arguments pour le développement du Grand Paris, en accroîssant la compétitivité de l’agglomération francilienne. Le Grand Paris s’étendra-t-il jusqu’à l’embouchure de la Seine ? Dans son discours de 2009, Nicolas Sarkozy a estimé qu’il fallait faire « enfin le choix stratégique que nous dicte la géographie : Le Havre, c’est le port du Grand Paris et la Seine est l’axe nourricier autour duquel la métropole a vocation à s’ordonner ».
APRES LA SEINE AVAL, LE RETOUR DE LA SEINE ET OISE
Le premier nom envisagé pour notre nouvelle intercommunalité, nommée parfois précédemment “Grand Mantois”, était “Grand Paris Seine Aval”. La Seine qui constitue son axe est restée dans son appellation, qui dorénavant comprend l’Oise ; toutefois, seules deux communes, Andrésy et Conflans-Sainte-Honorine, en sont riveraines sur une très faible distance, à la confluence. Trois autres affluents de la Seine auraient pu être choisis :
— l’Aubette de Meulan, qui s’y jette à la limite des communes de Hardricourt et de Meulan-en-Yvelines ;
— la Mauldre, qui rejoint la Seine à Epône ;
— la Vaucouleurs, qui se jette dans la Seine à Mantes-la-Ville.
Le terme « aval » n’était pas très significatif car il est tout à fait relatif, Paris étant en aval des villes traversées par le fleuve depuis sa source. D’autres sont en aval de notre territoire jusqu’à son estuaire. En fait « Seine Aval » désignait, depuis 10 ans, le territoire faisant l’objet d’un projet de développement, dont les contours ont été repris pour définir ceux de la nouvelle très grande intercommunalité.
« SEINE AVAL, LE GRAND PARI(S) DE L’OUEST » est le titre du site Internet de l’Etablissement Public d’Aménagement du Mantois Seine Aval (EPAMSA) (3). Le « s » est entre parenthèses, mais la référence s’y trouve déjà. L’EPAMSA a été désigné pour piloter l’OIN Seine Aval sur un territoire identifié comme un espace de développement stratégique en Île-de-France, décrit ainsi : « A 35 mn de Paris et 25 mn de la Défense, le territoire Seine Aval est l’un des maillons stratégiques du Grand Paris, au cœur des grands projets de la Vallée de la Seine (axe Paris — Normandie) et de Confluence Seine Oise avec le canal Seine Nord Europe. »
Le signe OIN désigne une Opération d’Intérêt National ; c’est « un projet de développement de territoire porté par l’État et les collectivités locales au bénéfice de ses habitants, de ses entreprises, de son environnement ». Cette opération, qui réunissait l’État, la Région Ile-de-France, le Département des Yvelines, 51 communes et 7 intercommunalités, avait été créée le 6 mars 2006 et concrétisée par un protocole signé le 31 janvier 2008. Sa justification était la suivante : « Face à la désindustrialisation qui a lourdement frappé ce territoire dès les années 1970, les acteurs politiques ont décidé collectivement de s’engager à long terme en faveur du développement et de l’attractivité de Seine Aval. ». Les objectifs de ce territoire étaient :
• le développement économique au profit de l’emploi,
• l’amélioration des conditions et du cadre de vie des habitants, avec un objectif de construction de 2 500 logements neufs par an,
• l’amélioration du réseau et de l’offre de transports,
• la préservation et la mise en valeur de l’environnement.
Un excellent document de novembre 2010 décrit les objectifs de l’OIN : SEINE AVAL IDF Un territoire de développement majeur pour l’Axe Seine (6). Il s’agit de la contribution de l’EPAMSA et de l’Agence d’urbanisme et de développement de la Seine Aval (AUDAS) à la Mission portant sur le développement et l’aménagement durables de l’Axe Seine, qui avait été confiée à Alain Lecomte. Ce document présentait le territoire de Seine Aval IDF, « dont l’identification n’est pas immédiate en raison de son appartenance à l’aire urbaine francilienne et à son caractère multipolaire ». Voici les titres de ses principales parties :
— le territoire à la confluence de la façade maritime de Paris et de l’Europe du Nord ;
— un territoire de la métropole parisienne, organisé autour d’un réseau de pôles urbains ;
— un territoire associant « Ville & Nature » dans une relation de proximité exceptionnelle en Ile-de-France ;
— un territoire qui souhaite retrouver une relation forte avec le fleuve ;
— un développement rapide marqué par un déséquilibre entre Habitat et Emploi ;
— un poids de population comparable à l’aire urbaine caenaise et supérieur à celle du Havre ;
— le principal pôle résidentiel de l’ouest francilien ;
— une desserte de qualité à renforcer, plaçant le territoire au cœur des échanges entre Paris et la Normandie ;
— un « maillon » important dans le dispositif fluviomaritime et logistique de l’Axe Seine ;
— un territoire façonné par le développement industriel ;
— des filières économiques majeures (L’automobile, L’aéronautique, Les éco-industries, L’éco-construction et l’efficacité énergétique, La santé et les services à la personne, La logistique fluviale) ;
— des zones d’activité économiques (ZAE), « moteur » du développement local ;
— un bassin d’emploi local, un bassin de déplacement aimanté vers Paris ;
— une volonté collective de développement extrêmement forte, impulsée et coordonnée par l’OIN Seine Aval IDF.
Leurs contenus, après remplacement des mots « Seine Aval IDF » par GPSO, pourraient-ils s’appliquer à notre communauté urbaine ?
Une zone géographique, comprise en partie dans la Seine Aval, fait l’objet, depuis 2013, d’un Contrat de Développement Territorial (CDT), porté par l’association « Confluence Seine-Oise » (7) ; celle-ci regroupe 28 communes : Saint-Germain-en-Laye et Maurecourt, associées aux anciennes communautés d’agglomérations CA2RS et PAC ainsi qu’à celle de Cergy-Pontoise. « Ce CDT […] vise à faire de la Confluence un grand pôle métropolitain, ˝un éco-territoire˝ associant qualité de vie, offre de services en particulier dans le domaine des loisirs et du tourisme et développement économique et urbain. Il s’inscrit dans les objectifs du Grand Paris et de l’Axe Seine en particulier avec le projet d’équipement structurant du port Seine Métropole. » Dans ce projet, se trouve, certainement, la justification de l’ajout des mots « Seine et Oise » au nom « Grand Paris » .
GEOPOLITIQUE NATIONALE OU BASSINS DE VIE
L’une des idées de Nicolas Sarkozy, dans son discours de 2009, semblait avoir été adoptée, avant son élection, par le président de la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise : « Le Grand Paris c’est un projet qui n’appartient pas à un parti, qui n’appartient pas à un camp mais qui concerne tout le monde et qui appartient à tout le monde. » Pourra-t-il la mettre en œuvre alors que les 15 vice-présidents ne représentent pas toutes les opinions politiques ?
Des divergences se sont manifestées à propos des objectifs de la création de cette intercommunalité, à l’échelle d’un département de taille moyenne. Une question se pose pour les élus ainsi que pour tous les habitants : le but est-il, principalement, le développement économique comme pour le Grand Paris ? Ou bien, malgré sa dimension, la communauté urbaine doit-elle s’organiser autour des communes, dans une logique de proximité, de coopération territoriale et de mutualisation ?
Références :
- http://www.parly2.com/_lp2_data/2000–2010/2004/52.pdf(link is external)
- http://www.prefig-metropolegrandparis.fr/Y‑voir-clair-dans-le-Grand-Paris/Grand-Paris-une-deja-longue-histoire(link is external)
- http://www.epamsa.fr/index.php/fr/decouvrir-seine-aval/un-territoire-des-ambitions(link is external)
- http://www.citechaillot.fr/data/expositions_bc521/fiche/22844/discoursprgrandparis30‑4–09_0c547.pdf(link is external)
- http://www.driea.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr/le-nouveau-grand-paris-a4227.html(link is external)
- http://www.apur.org/sites/default/files/documents/AUDAS_axe_Seine.pdf(link is external)
- http://www.iau-idf.fr/fileadmin/user_upload/Enjeux/CDT/fiches/F_confluence.pdf
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