Manger en France est une affaire sérieuse. Ce besoin natu­rel de se nour­rir, la France l’a trans­for­mé en un art « du bien man­ger et du bien boire », en une pas­sion gas­tro­no­mique, qui aujourd’hui encore contri­bue à la valo­ri­sa­tion du pays au niveau inter­na­tio­nal. Relayage et com­men­taires par Isan­zu Karia.

L’arrivée du res­tau­rant dans la seconde moi­tié du XVIIIe siècle est un évè­ne­ment impor­tant. Il faut faire de l’alimentation pour tous, une source de plai­sir, de créa­tion, de joie, de dépas­se­ment de soi. Selon les pro­vinces, la nour­ri­ture est dif­fé­rente, cha­cune ayant leur spé­ci­fi­ci­té. Pen­dant des mil­lé­naires, humains sont morts de trop man­ger et beau­coup de ne pas pou­voir se nour­rir suf­fi­sam­ment.

C’est à par­tir d’une belle pas­sion pour les arts de la table et l’exemple
ins­pi­rant de son oncle, Meilleur Ouvrier de France, que Fran­çoise
Camut – Le Ribo­teur s’est pas­sion­née pour le sujet et a dévo­ré une copieuse docu­men­ta­tion dont elle sau­ra vous trans­mettre la « sub­stan­ti­fique moelle » !

La France étant un pays de gas­tro­no­mie par excel­lence, c’est l’occasion de décou­vrir l’histoire de notre pays du point de vue du ventre, et ce, sur une période de temps très consé­quente. Sui­vez les traces des plats, us et cou­tumes et tra­di­tions qui ont façon­né l’his­toire culi­naire fran­çaise !

À l’é­poque du sans glu­ten, du sans addi­tifs ali­men­taires, du véga­nisme et autres dif­fé­rents régimes, pre­nez le temps de savoir com­ment nous en sommes arri­vés là.

À vos agen­das, et notez bien : entrée libre et gra­tuite dans la limite des
places dis­po­nibles. (Par­king de la Gare à 200 mètres)

La confé­rence pren­dra donc place le same­di 7 octobre, à 15h, à la salle Grel­bin, 10 rue de l’Hautil.

Pour en savoir plus sur l’association orga­ni­sant l’évènement, suivre le lien sui­vant :
www.trielmemoirehistoire.fr