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Activités physiques, handicaps et santé au cœur de la journée « Bouger pour ma santé »
Mercredi 24 avril 2024, au Stade Léo-Lagrange des Mureaux fut organisée la journée « Bouger pour ma santé » par le CCAS et le service des Sports des Mureaux, avec l’appui de nombreuses associations…
Ciné-débat au Pandora d’Achères : « Une affaire de principe »
Bruxelles, 2012. Quand le commissaire à la santé est limogé du jour au lendemain, dans la plus grande opacité, le député européen José Bové et ses assistants parlementaires décident de mener…
Le bateau « Je sers » à Conflans va-t-il fermer ?
Le bateau chapelle « Je sers » fait partie du patrimoine et de l’histoire locale, il a aussi dimension sociale et cultuelle. Que ce passe-t-il à la direction ? A la surprise générale, l’association…
Les usagers de la SAUR manifestent leurs mécontentements aux Mureaux
Mardi 23 avril 2024, une manifestation fut organisée par le Collectif citoyen « Les Mur’Eau » devant le siège de la société La Saur, aux Mureaux, gestionnaire de la distribution de l’eau sur la…
Vernouillet décerne la médaille de la ville aux anciens gérants du Petit Casino
La météo n’a pas été au rendez-vous, mais, l’esprit du village était plus que jamais présent lors de la fête, le 19 avril, organisée en l’honneur du couple Moreau. La présence de ces commerçants…
Coupes d’arbre à la base de loisirs : l’Adiv Environnement demande des explications
Coupes à l’Ile de Loisirs du Val de Seine : nous demandons des explications a publié l’Adiv-Environnement dans un article sur leur site Internet qu nous reproduisons ici. Cet hiver, d’importantes…
Andrésy : le maire reprend la main et fait adopter le budget 2024
A la dernière séance du conseil municipal d’Andrésy, le 15 avril, Lionel Wastl, maire depuis 2020 a organisé et mené à bien un ordre de jour concis et musclé et, ainsi, fait preuve d’autorité. C’est…
30 collégiens des Mureaux en séjour mémorial et culturel en Pologne
Vendredi 12 avril 2024, vers 20h, 30 collégiens, des trois collèges de la commune des Mureaux, sont partis en séjour mémorial et culturel en Pologne, à Sosnovieck. Cette dernière ville est jumelée…
Immobilier : toujours la crise au marché des locaux d’activités en Ile-de-France
Le 17 avril, les experts observent un démarrage poussif dans un contexte encore grippé. Rappel : le présent communiqué est élaboré avec les données 2024 issues du nouveau groupe de travail ImmoStat…
Logement : les maires de grandes villes demandent des moyens
Présidée par Gil AVÉROUS, maire de Châteauroux, l’association Villes de France, association d’élus pluraliste dont le président délégué est Jean-François DEBAT, maire de Bourg-en-Bresse, représente…
Non à la « fast-fashion » dans le circuit seconde main
La fast fashion a‑t-elle sa place sur les plateformes de seconde main ? La réponse est non pour les fondateurs du site OMAJ. Celui-ci, le spécialiste de la seconde main certifiée impeccable, analyse les récentes décisions des plateformes de seconde main.
Le modèle de la fast fashion, production textile au rythme effréné, a des conséquences sociales et environnementales très préoccupantes et largement dénoncées en Europe. Les conditions de travail peu éthiques et les normes défaillantes de cette industrie exposent, entre autres, les travailleurs à des heures excessives et des salaires dérisoires. De plus, la surproduction massive entraîne une consommation disproportionnée des ressources naturelles, génère des déchets textiles et contribue à une empreinte carbone colossale.
Face à cette réalité, les plateformes de seconde main se mettent à prendre des mesures en interdisant la vente de vêtements de marques de fast fashion sur leur site. OMAJ, la plateforme qui réinvente l’expérience de la mode de seconde main afin de la rendre simple et accessible, analyse de manière approfondie cette situation.
Omaj considère que la fast fashion de seconde main n’est plus vraiment de la fast fashion. Chez OMAJ, les marques ne sont pas acceptées ou refusées en fonction de leur éthique ou de leur impact environnemental, car le choix serait trop rapidement limité.
Le prix et la renommée d’une marque ne garantissent pas nécessairement une production fiable et respectueuse. Des marques comme Levi’s, Ralph Lauren ou Sandro sont associées à des controverses, comme le scandale des Ouïghours.
Pourquoi OMAJ refuse-t-elle des marques de fast fashion ?
La réponse est simple : bien sûr OMAJ souhaite préserver la qualité, l’éthique et la durabilité. Mais c’est aussi et surtout, la réalité financière qui doit entrer en compte.
L’exemple d’un vêtement de la marque Shein acheté à 12€ est très parlant. En seconde main, il serait revendu aux alentours de 5€. OMAJ, qui garantit une qualité de service, doit couvrir des coûts significatifs tels que le transport, le contrôle qualité, la photographie, la rédaction de la fiche produit, le marketing, la technologie, et que cela reste intéressant pour les personnes qui vendent sur le site : des coûts qui s’élèvent à plus de 5€.Dans le cas d’une pièce Shein à ce prix, l’équation est impossible.C’est pourquoi OMAJ fixe une limite, nommée Zara. En dessous des prix pratiqués par cette enseigne, OMAJ est contrainte de refuser les marques comme Shein, Primark, H&M ou autres représentants de la fast fashion.
Que la marque soit 100% éthique ou non, OMAJ décide de prolonger leur durée de vie au maximum, afin d’éviter de nouveaux achats en neuf. Une seconde main utilisée à bon escient permet d’économiser jusqu’à 90% de l’empreinte carbone d’un vêtement et a un impact social positif avec notamment la création d’emplois en France, non délocalisés.
À propos
Lancée fin 2021 par Paul Charon et Marine Daul Mernier, OMAJ repense l’expérience de la mode de seconde main. En simplifiant l’expérience et en apportant des gages de confiance pour l’acheteur et le vendeur, la start-up a déjà séduit 50 000 utilisateurs et redonné vie à 70 000 vêtements.
OMAJ, la seconde main certifiée impeccable.
Plus d’informations sur omaj.fr