Ghis­laine Bizot est auteure de théâtre de pré­ven­tion pour les enfants et les ado­les­cents. Elle a déjà écrit, mon­té et mis en scène plu­sieurs pièces sur divers sujets de socié­té : les dan­gers d’in­ter­net, le jeu du fou­lard, le res­pect dans les rela­tions amou­reuses et le har­cè­le­ment sco­laire.

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pour contri­buer au pro­jet. 

Elle a éga­le­ment écrit des his­toires pour les enfants et des romans pour les adultes qui traitent de sujets aus­si déli­cats que : le non – consen­te­ment dans les rela­tions amou­reuses, l’emprise au sein du couple, le racisme ou encore l’a­mi­tié.

Le théâtre de pré­ven­tion c’est quoi ?

Le théâtre de pré­ven­tion est une forme ori­gi­nale de théâtre. Il per­met d’a­bor­der des pro­blé­ma­tiques ren­con­trées par les ado­les­cents, par le biais de la scène pour faire pas­ser un mes­sage et ouvrir le dia­logue avec les jeunes.  

La repré­sen­ta­tion théâ­trale pro­pose un miroir aux spec­ta­teurs. Les situa­tions étant proches de celles qu’ils vivent, les jeunes peuvent faci­le­ment s’i­den­ti­fier aux per­son­nages et res­sen­tir des émo­tions,  de l’empathie, de la colère, ou rare­ment, de l’in­dif­fé­rence. 

Ces ouvrages servent de sup­port pour per­mettre une dis­cus­sion avec le public, après avoir sou­le­vé des ques­tions, ou des réac­tions dans l’auditoire grâce à la pièce. Depuis 2011, plu­sieurs pièces ont été ain­si écrites (En dehors des limites, Inter­net @ttention dan­ger, le jeu du fou­lard…), et jouées dans plu­sieurs villes de France, devant des éco­liers ou col­lé­giens, déclen­chant dis­cus­sions et débats avec le jeune public. Vouées à être pro­po­sées au plus large public, ces scènes sont à mettre à dis­po­si­tion des élèves, des profs, des biblio­thèques sco­laires et/ou des dif­fé­rentes écoles de théâtre. 

Et si on par­lait har­cè­le­ment ? Des­crip­tion

Avec cette nou­velle pièce Et si on par­lait har­cè­le­ment ? Ghis­laine Bizot s’a­dresse plus par­ti­cu­liè­re­ment aux col­lé­giens et lycéens.  La pièce est com­po­sée de 7 tableaux qui per­mettent d’exa­mi­ner les points de vue dif­fé­rents dans une situa­tion de har­cè­le­ment : le point de vue du prof, du har­ce­lé, du har­ce­leur, des parents du har­ce­lé et des parents du har­ce­leur…

La pièce a déjà été jouée une dizaine de fois par l’as­so­cia­tion Andro­mède en Ile de France. Des­ti­née à être dif­fu­sée auprès de toutes les écoles et tous les élèves, la publi­ca­tion de la pièce a pour objec­tif de per­mettre cette dis­cus­sion avec chaque élève en dif­fi­cul­té. 

Quelques témoi­gnages de per­sonnes qui ont déjà eu l’oc­ca­sion de voir la pièce :

« J’ai trou­vé la pièce per­cu­tante, réa­liste. Elle vient bous­cu­ler cha­cun d’entre nous, parent, enfant, ensei­gnant… et elle explore la place de cha­cun, que l’on soit vic­time, auteur, parent ou bien encore com­plice.
Bra­vo aux comé­diens pour leur per­for­mance.
Le mes­sage autour du 9 novembre per­met de rap­pe­ler l’im­por­tance de la pré­ven­tion sur le sujet.
Un débat après la pièce me semble essen­tiel. » 

« Et si on par­lait har­cè­le­ment ? mais oui par­lons-en jus­te­ment. J’ai eu la chance d’as­sis­ter à deux repré­sen­ta­tions. Je ne m’en lasse pas. Le jeu des acteurs, la mise en scène très sobre et sur­tout le talent de l’au­teure Ghis­laine Bizot font de cette pièce d’u­ti­li­té publique, une vraie réus­site. Encore bra­vo !  »

Le livre fait 90 pages envi­ron en for­mat poche, pour que cha­cun puisse glis­ser faci­le­ment le livre dans son sac ou dans la poche arrière de son jean.

La durée de la repré­sen­ta­tion est de 50 mn envi­ron. 

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