Actualités
18e Gargantuades à Maurecourt, édition 2024
Certes, la pluie et la faiblesse d’affluence ont affecté le moral des commerçants présents à cette 18e édition de la gastronomie et de la transhumance dans la bonne ville de Maurecourt. Après la…
La saison des brocantes s’ouvre : visite de celle de Conflans
Ce dimanche 28 avril 2024 fut une journée chargée en brocante et vide-greniers sur le territoire de la Communauté Urbaine Grand Paris Seine&Oise. Ce dimanche peut être considéré comme celui de…
Activités physiques, handicaps et santé au cœur de la journée « Bouger pour ma santé »
Mercredi 24 avril 2024, au Stade Léo-Lagrange des Mureaux fut organisée la journée « Bouger pour ma santé » par le CCAS et le service des Sports des Mureaux, avec l’appui de nombreuses associations…
Ciné-débat au Pandora d’Achères : « Une affaire de principe »
Bruxelles, 2012. Quand le commissaire à la santé est limogé du jour au lendemain, dans la plus grande opacité, le député européen José Bové et ses assistants parlementaires décident de mener…
Le bateau « Je sers » à Conflans va-t-il fermer ?
Le bateau chapelle « Je sers » fait partie du patrimoine et de l’histoire locale, il a aussi dimension sociale et cultuelle. Que ce passe-t-il à la direction ? A la surprise générale, l’association…
Les usagers de la SAUR manifestent leurs mécontentements aux Mureaux
Mardi 23 avril 2024, une manifestation fut organisée par le Collectif citoyen « Les Mur’Eau » devant le siège de la société La Saur, aux Mureaux, gestionnaire de la distribution de l’eau sur la…
Vernouillet décerne la médaille de la ville aux anciens gérants du Petit Casino
La météo n’a pas été au rendez-vous, mais, l’esprit du village était plus que jamais présent lors de la fête, le 19 avril, organisée en l’honneur du couple Moreau. La présence de ces commerçants…
Coupes d’arbre à la base de loisirs : l’Adiv Environnement demande des explications
Coupes à l’Ile de Loisirs du Val de Seine : nous demandons des explications a publié l’Adiv-Environnement dans un article sur leur site Internet qu nous reproduisons ici. Cet hiver, d’importantes…
Andrésy : le maire reprend la main et fait adopter le budget 2024
A la dernière séance du conseil municipal d’Andrésy, le 15 avril, Lionel Wastl, maire depuis 2020 a organisé et mené à bien un ordre de jour concis et musclé et, ainsi, fait preuve d’autorité. C’est…
30 collégiens des Mureaux en séjour mémorial et culturel en Pologne
Vendredi 12 avril 2024, vers 20h, 30 collégiens, des trois collèges de la commune des Mureaux, sont partis en séjour mémorial et culturel en Pologne, à Sosnovieck. Cette dernière ville est jumelée…
Élections à Triel, un dernier effort and the winner is …
Dernières tractations entre les listes qualifiées et les listes non qualifiées au premier tour du 15 mars (DR)
Maintenant que l’on sait que le second tour aura lieu le 28 juin à Triel-sur-Seine comme dans quelques 4800 autres communes de France, il nous est loisible de commenter la situation politique dans notre village telle que nous la décryptons à l’heure actuelle. Nous envisagerons quelques hypothèses, poserons quelques certitudes ; fin du premier suspens avec le dépôt des listes début juin.
Une campagne inédite
Déjà des données objectives : la fusion des listes n’est possible que jusqu’au 2 juin ; la campagne commencera à partir du 15. Une campagne en mode confinement : compte tenu de l’absence du tractage et de réunions, rendus impossibles par la Covid-19, le bouche à oreille (mais de loin), les lettres d’information et d’autres moyens de communication directe (boîtes aux lettres, visites de prescripteurs tels que des commerçants et des représentants associatifs) seront largement employés pour essayer de convaincre les électeurs. Les militants afficheurs se disputeront âprement les panneaux jusqu’au terme du 26 juin. C’est donc un deuxième tour inédit et il faut bien en finir. Le gouvernement ne veut plus en entendre parler au delà de l’été car il aura d’autres chats à fouetter à la rentrée. Au programme en ce moment, les tractations entre les qualifiés et les exclus du 15 mars jusqu’au 2 juin (date limite, en pratique jusqu’à ce week-end).
Le point sur les fusions
Le candidat LaREM a la plus mauvaise place : s’il se rallie, il se soumet et la candidate Kérignard n’en veut pas trop ; elle se contenterait bien d’un soutien, ayant fait connaître dès le départ, sa répulsion quasi-olfactive envers le représentant du ponte départemental. Il y aura donc trois listes. La vieille garde symbolisée par la liste de Philippe Paillet est la seule qui pourrait faire mouvement vers celle de Jonas Maury pour constituer une coalition anti-Aoun réduite. Il est quasiment certain que la liste Kérignard ne fera pas alliance et cherchera, peut-être, en dernière minute à se rapprocher de Martine Cartier de la liste Triel Avenir.
Justement, cette dernière aura trop longtemps tergiversé, balançant ou en ayant fait semblant, entre un ralliement tantôt vers Aoun, tantôt vers Kérignard. Hésitant trop longtemps ou se croyant en position de faire monter les enchères avec un résultat du premier tour qui lui interdit pourtant tout “chantage au maintien”. La raison aurait été de laisser à des colistier(e)s beaucoup moins finasseurs la possibilité, comme envisagé très tôt, de rejoindre la liste Aoun. Le risque est qu’elle n’obtienne rien, ou qu’elle rallie Kérignard avec un équipage réduit, ce qui ne lui apporterait presque rien.
La place de deuxième n’est pas non plus très enviable et une dissension jusqu’ici bien dissimulée au sein de la liste Triel Autrement était déjà perceptible dès l’annonce des résultats, le soir du premier tour : l’observateur pouvait en effet constater qu’Yvon Rosconval faisait bande à part dans le jardin Senet, pas seulement pour marquer une distance covidienne !
Les challengers en difficulté
La chance de la liste de Kérignard serait que la liste de Maury jette l’éponge. L’hypothèse reste peu probable : dans sa position, ce serait plus raisonnable mais ce serait l’aveu de l’échec d’une campagne qui a surtout recherché le soutien des élus de l’ancien monde et d’autres caciques départementaux, à défaut du soutien des Triellois. La motivation des militants est aussi bien entamée par le résultat du premier tour ! L’hypothèse d’un rassemblement “un pour tous, tous pour un”, qui avait réussi de justesse en 2014 à l’encontre du candidat Arnaud Richard, serait réellement une surprise. L’attelage hétéroclyte, mariage de l’ancien et du neuf, s’il aboutissait, aurait toutefois très peu de chances d’interrompre la course gagnante de l’équipe menée par Cédric Aoun.