Le Fes­ti­val des Fro­mages, un ren­dez-vous incon­tour­nable meu­la­nais met­tant en avant les fro­mages fran­çais, et dès fois d’au-delà du ter­ri­toire, s’est tenu durant le wee­kend du 8 au 9 octobre, de 10h à 18h. Ce fes­ti­val trans­forme le centre-ville de Meu­lan-en-Yve­lines en gigan­tesque pla­teau de fro­mages. Sachant qu’il y a plus de 1 200 varié­tés de fro­mage en France, c’est un vaste pro­gramme qui atten­dait les visi­teurs du fes­ti­val.

Un petit Com­té expo­sé sur un stand du fes­ti­val (Pho­to J2R)

Du fro­mage, mais pas que puisque les pro­duits des ter­roirs sou­vent asso­ciés aux fro­mages, comme le vin, le pain, la char­cu­te­rie,… étaient eux-aus­si pré­sents.

Les Alpes à l’honneur

Comme chaque année, il y a un thème ou une région mise en avant durant le fes­ti­val. Cette année, les Alpes sont à l’honneur et pas que les Alpes fran­çaises, puisque un stand Suisse était aus­si pré­sent.
Le fes­ti­val s’est donc dérou­lé dans une ambiance alpine avec des ani­ma­tions liées à la chaîne de mon­tage. Le visi­teur ne devait donc pas être sur­pris en croi­sant une mini sta­tion de ski devant la mai­rie de Meu­lan, des son­neurs de cloches du Club des Son­neurs des Hauts de Lavaux ou encore en enten­dant le son du cor alpin. Effec­ti­ve­ment, quatre joueurs de cor, habillés en ber­gers, étaient pré­sents. Le cor, c’est un ins­tru­ment vieux de sept siècles dont l’écho résonne à des kilo­mètres à la ronde. Ce sont les ber­gers qui s’en ser­vaient pour com­mu­ni­quer d’une val­lée à l’autre.

Les joueurs de Cor (Pho­to J2R)

Le fes­ti­val débor­dait éga­le­ment sur les rives de la Seine avec un espace dédié aux enfants. Ce der­nier était ins­tal­lé sur les bords de Seine. Et les enfants ont eu de quoi s’amuser avec une mini-ferme, des jeux de paille, des struc­tures gon­flables et poneys.
Les visi­teurs ont pu repar­tir avec leurs pho­tos per­son­na­li­sées de l’événement éga­le­ment. Un petit sou­ve­nir ou une petit attrac­tion qui a trou­vé son public.
Il faut noter le carac­tère très fes­tif de cette édi­tion par rap­port aux deux pré­cé­dentes qui en rai­son de la pan­dé­mie de COVID19 l’étaient beau­coup moins, avec un sens de cir­cu­la­tion dans le fes­ti­val qui n’était pas du goût de tout le monde. Mais là, la fête était de retour et cela s’entendait bien.