Dans un com­mu­ni­qué du 3 juin, Lio­nel Wastl qui conti­nue à se reven­di­quer « un éco­lo­giste convain­cu et déter­mi­né » a don­né sa démis­sion aux ins­tances du par­ti vert.

Dans sa mis­sive, M. Wastl fait part de la stra­té­gie de « déni­gre­ment sou­te­nue par les Eco­lo­gistes Nord Yve­lines ». Depuis plu­sieurs mois, son ancienne adjointe Annie Mina­rik, adhé­rente EE-LV mène la vie dure au maire d’An­dré­sy. « Ses pro­pos et actions ont désta­bi­li­sé la majo­ri­té muni­ci­pale », explique-t-il. Non seule­ment cela, mais Mme Mina­rik a fomen­té la fronde contre un maire « qui n’a plus de convic­tions éco­lo­giques » selon l’in­té­res­sée : les dos­siers du Pont d’A­chères, du bud­get qui avait été refu­sé une fois en séance du conseil muni­ci­pal, etc. ont contri­bué à une rup­ture totale entre des anciens adhé­rents EE-LV.

Certes, cette démis­sion tombe mal pour le par­ti éco­lo­giste car peu de maires dits « verts » existent en Ile-de-France. Mais, cette déci­sion per­met une cla­ri­fi­ca­tion entre les uns et les autres. La ques­tion de demain est de savoir avec qui (et quel par­ti ?) M. le maire d’An­dré­sy pour­rait sau­ver les meubles et être réélu en 2026 ?