Actualités
Vide grenier du Paradis 2024
Dimanche 2 juin 2024, la ville de Meulan-en-Yvelines organise son traditionnel vide-greniers du Paradis de 8h à 18h dans le quartier du Paradis, Rue de la Ferme du Paradis. Les inscriptions sont…
Journal des 2r : 01/05/2024(GPS&O, Les Mureaux, Porcheville, Triel, Vaux, Verneuil, Vernouillet, services publiques, pop, culture, sports…)
Edition de mai 2024 du « Journal des 2r » en vidéo, qui a été enregistrée dans le studio de la Péniche à Triel-sur-Seine, présenté et réalisée par Damien Delerin. Cette édition revient sur les…
Triel et son événement littéraire, Livres en Seine
Les 27 et 28 avril, le salon « Livres en Seine » a confirmé le rôle et la place de la littérature régionale dans la Vallée de la Seine. Malgré la pluie du samedi, les 25 auteurs ont trouvé leur public…
18e Gargantuades à Maurecourt, édition 2024
Certes, la pluie et la faiblesse d’affluence ont affecté le moral des commerçants présents à cette 18e édition de la gastronomie et de la transhumance dans la bonne ville de Maurecourt. Après la…
La saison des brocantes s’ouvre : visite de celle de Conflans
Ce dimanche 28 avril 2024 fut une journée chargée en brocante et vide-greniers sur le territoire de la Communauté Urbaine Grand Paris Seine&Oise. Ce dimanche peut être considéré comme celui de…
Activités physiques, handicaps et santé au cœur de la journée « Bouger pour ma santé »
Mercredi 24 avril 2024, au Stade Léo-Lagrange des Mureaux fut organisée la journée « Bouger pour ma santé » par le CCAS et le service des Sports des Mureaux, avec l’appui de nombreuses associations…
Ciné-débat au Pandora d’Achères : « Une affaire de principe »
Bruxelles, 2012. Quand le commissaire à la santé est limogé du jour au lendemain, dans la plus grande opacité, le député européen José Bové et ses assistants parlementaires décident de mener…
Le bateau « Je sers » à Conflans va-t-il fermer ?
Le bateau chapelle « Je sers » fait partie du patrimoine et de l’histoire locale, il a aussi dimension sociale et cultuelle. Que ce passe-t-il à la direction ? A la surprise générale, l’association…
Les usagers de la SAUR manifestent leurs mécontentements aux Mureaux
Mardi 23 avril 2024, une manifestation fut organisée par le Collectif citoyen « Les Mur’Eau » devant le siège de la société La Saur, aux Mureaux, gestionnaire de la distribution de l’eau sur la…
Vernouillet décerne la médaille de la ville aux anciens gérants du Petit Casino
La météo n’a pas été au rendez-vous, mais, l’esprit du village était plus que jamais présent lors de la fête, le 19 avril, organisée en l’honneur du couple Moreau. La présence de ces commerçants…
Les casserolades poursuivent les macronistes dans les Yvelines
Dans une visite surprise à Poissy, le 28 avril, Elisabeth Borne, première ministre de M. Macron, a tenté de faire croire que le temps de casseroles était derrière nous. Or, à Versailles, le 26 avril, aux Mureaux le 29 avril et même à Poissy le même jour, il n’en était rien ! Encore un rendez-vous le 1er mai pour savoir si les casserolades sont vraiment finies ?
Présente au rassemblement contre la caravane du SNU à Versailles ce mercredi 26 avril, l’Union syndicale Solidaires 78 a tenu « à dénoncer les stratégies de « maintien de l’ordre » qui ont été appliquées pour « protéger » une caravane… de présentation du Service National Unique (SNU) qui était quasi vide.
Dès le début du rassemblement, les forces de police ont nassé les manifestant·es en deux endroits, les empêchant de se rejoindre et prétextant que des commerçants étaient en train de ranger leur stand pour partir et leur faire de la place du marché du mercredi. Selon les dires d’un membre du syndicat Solidaires 78, « une policière a prétendu même que le rassemblement n’est pas déclaré. » « C’était un mensonge ! » a‑t-il souligné le membre de Solidaires 78.
Plus tard, un cordon de policiers va au contact physique des manifestant·es pour les pousser, avec violence (voir sur la vidéo ci-dessous, notamment ce policier qui prend de l’élan pour entrer dans ce qu’il doit croire être une mêlée de rugby !).
C’est à ce moment-là qu’une des deux policières à cheval s’est avancée avec son animal au milieu des manifestant·es, créant un mouvement de panique et de colère. Le cheval transformé par la policière en instrument de violence a en effet bousculé des personnes avec sa tête et écrasé des pieds avec ses sabots.
Utiliser la violence contre des manifestant·es pacifiques, dresser des animaux pour le « maintien de l’ordre » : voilà des méthodes bien indignes ! Solidaires s’oppose à l’utilisation d’animaux contre les manifestant·es et plus généralement par les forces de l’ordre.
À la fin du rassemblement, les forces de l’ordre sans doute moins endurantes que les manifestant·es présent·es depuis trois heures et toujours déterminé·es, ont placé deux camionnettes pour, apparemment, cacher les manifestant·es. Leurs petit·es chef·fes ont bien veillé à ce que deux policiers soient placés dans les trous entre les deux camionnettes, afin de rendre invisibles les manifestants et leurs casseroles…
À Poissy, le 28 avril, Elisabeth Borne a été accompagnée par le député Karl Olive et Sandrine Berno Dos Santos dans les allées du marché de vendredi. Certes, personne n’était venu contredire les propos de la Première ministre en raison de la bienveillance de tous les marchands à cet heure-ci. En revanche, les détracteurs, sur Facebook, de la Macronie se sont exprimés : « Pointer à 10 heures du matin pour serrer les mains des commerçants et quelques militants à la retraite ça passe dans les médias mais les gens ne sont pas dupes au vu des commentaires sur le site de l’ancien maire [Karl Olive], » a écrit Féhrid Draik. Thierry Lucas, un autre contributeur sur Facebook a souligné le caractère biaisé de ce spectacle : « Visite surprise comme pour celle de Macronerie dans le Jura où il y avait déjà le service d’ordre et les barrières pour une rencontre avec des personnes soigneusement sélectionnée . En arrière plan les seconds couteaux M le maire et l’éternel moustachu… »
Il est clair que la défiance est toujours présente dans les villes de France et de Navarre. Les déplacements de la Macronie ne passent pas bien sur le terrain et leur stratégie de communication est loin d’avoir abouti à démontrer la fin des casserolades en France.