Actualités
L’insertion urbaine des centres commerciaux franciliens
Transformer les centres coimmerciaux à l’heure du ZAN. Alors que le gouvernement lançait lundi un plan de transformation des zones commerciales d’une enveloppe de 24 M€, retour sur l’analyse de la…
Lambert Tang, ou le secret de la longévité
À80 ans, Lambert Tang est un vernolien extraordinaire. Il est l’un des rares français à être titulaire de tous les diplômes allant du certificat d’études au diplôme d’ingénieur ECP (École Centrale…
Les 50 ans de la disparition de Pablo Neruda
Pablo Neruda est une personnalité chilienne du XXème siécle. Connu pour ses nombreuses œuvres lyriques, cela fait 50 ans qu’il a disparu. À cette occasion, la maison Elsa Triolet-Aragon organise un…
Le 21ème Festival international du Cirque des Mureaux
Du vendredi 6 au dimanche 8 octobre prochain, aux Mureaux, le Parc du Sautour ouvre ses portes au 21ème Festival international du Cirque des Mureaux. Ce sont des artistes des quatre coins du monde…
Bois de Verneuil : 50 ans
Le 30 septembre 1973, l’émission « La France Défigurée » de la première chaîne de l’ORTF* évoquait l’affaire du Bois de Verneuil. Que s’était-il passé à Verneuil pour qu’on en parle à la télé ? Pour…
La baisse des droits de mutation, une bombe à retardement pour les finances publiques
« L’actuelle crise du logement affecte en premier lieu les acheteurs, les agents immobiliers et les promoteurs. Mais elle fait aussi des victimes collatérales, notamment les collectivités locales. En…
Volley-ball : Les Corsaires du Confluent sont bien arrivés
Le 15 septembre, les Corsaires du Confluent sont arrivés au bon port. L’équipe de volley-ball CAJVB a présenté sa nouvelle équipe et son nouveau nom, les Corsaires. Seront-ils téméraires comme les…
Fleurs en Seine 20 ans : le départ chargé en émotion de sa présidente
Du 16 au 17 septembre 2023, dans le Parc de l’Oseraie des Mureaux, s’est tenue la 20ème édition de Fleurs en Seine. Une édition qui fut encore une fois une réussite en terme de fréquentation et qui…
La démocratie locale est-elle morte ?
Le 14 septembre se sont réunis à Triel, une cinquantaine d’élus minoritaires des différents conseils municipaux des Yvelines. Cette réunion est une première dans les Yvelines ; en outre, elle a…
40e édition des Journées Européennes du patrimoine : entre la scène et la Seine
Samedi 16 et dimanche 17 septembre 2023 va se tenir la 40e édition des Journées européennes du patrimoine en France. Ces journées vont célébrer avec son double thème : patrimoine du vivant et du…
Râler ça fait du bien !
Commençons par en rire ! (DR)
Nous avons tous, un jour, ravalé notre salive mais des études récentes nous recommandent d’exprimer ce que nous avons sur le cœur. Ronchonner plutôt que ruminer, c’est bien meilleur pour la santé ! Pourquoi râle-t-on ?
Soyons honnêtes : tout le monde râle. Vous, moi, vos collègues de travail, les gens au volant de leur voiture, ceux qu’on rencontre au coin d’une rue… Cela se fait n’importe où et n’importe quand, même contre soi-même quand on se voit soudain face au miroir matinal ! C’est humain, réconfortant et cela fait du bien. Peut-être mais, selon la science, râler est mauvais pour la santé. Les Français sont d’ailleurs des champions dans ce domaine. Selon une étude du cabinet d’experts « Quatre conseils pour arrêter de râler ! », nous nous plaindrions environ 15 à 30 fois par jour ouvrable ! Ignorant ce que vous en pensez, je trouve que c’est une moyenne basse car nous ne réfléchissons pas assez aux conséquences des mots que nous employons. La réponse à la question » Pourquoi râle-t-on ? » peut sembler évidente : « Parce qu’on n’est pas satisfait de quelque chose ».
La météo, le fait de se lever pour aller bosser un lundi matin, à cause des collègues, du prof ou du boss, de vous, de moi, des autres, d’un mot (maux ?) mal interprété, etc. Il faut trouver un bouc émissaire et une raison ou un prétexte apparemment valables. Toutefois, grogner, maugréer, ronchonner, protester, manifester sa mauvaise humeur ou son mauvais ressenti peut déclencher des quiproquos largement utilisés jadis par les scénaristes hollywoodiens d’avant-guerre ou, plus loin dans le temps mais toujours d’actualité, les comédies des auteurs de vaudevilles du XIXe siècle.
Oui mais rien n’est jamais aussi simple qu’il y paraît ; n’oublions pas que nous sommes pour assez longtemps encore au XXIe siècle ! C’est une époque de tolérance intellectuelle et de liberté où tout devient possible. En résumé, râler de façon compulsive nous entraîne dans une spirale de négativité. Cela nous empêche de voir la partie du verre à moitié plein et de mettre en avant des sentiments qui risquent d’encourager les râleurs professionnels à amplifier leur rôle et à encourager les polémiques non productives. Dans ce cas, pourquoi continuons-nous à râler ?
La science avance plusieurs explications. C’est souvent une habitude tellement ancrée qu’elle finit par devenir invisible. Elle peut être née du fait d’avoir vécu dans un environnement qui a façonné notre manière de concevoir le monde. Elle peut aussi jaillir spontanément avec ou sans rapport direct avec les événements ressentis. Aussi négative que soit cette attitude, elle a pourtant une fonction sociale. Pester contre tout et n’importe quoi est sans effet mais parfois, s’il y a une « bonne » raison, cela peut être une façon d’engager la conversation et, indirectement, de se rapprocher de ceux qui nous écoutent nous plaindre et réfléchir aux conséquences imprévues ; en effet, en s’appuyant sur ce qu’il prend pour une provocation, le râleur recherche l’approbation de ses pairs et transforme, à son avantage, les inconvénients de la situation. Aussi étrange que cela puisse paraître, râler est une sorte d’acte créatif, pas forcément celui que nous pourrions croire !
Finalement, que faut-il retenir de tout cela ? Si râler ne fait pas de quelqu’un une mauvaise personne, bien au contraire, cela peut, par contre, réduire fortement la qualité de son image. Lutter contre ce plaisir coupable qu’est celui de râler, assumer les pensées perçues comme négatives, qui quelquefois ne le sont qu’en apparence, c’est réaliser que ces pensées ne sont pas uniquement négatives. Ce sont juste des pensées. Une fois que nous avons accepté le fait que nous sommes le créateur de ces pensées, nous pouvons les modifier selon notre volonté.
Municipales 2020
- Andrésy : le départ qui ébranle l’équipe municipale
- Pour l’orientation budgétaire, la Ville de Triel doit soumettre des documents conformes à la règle administrative
- Le tribunal administratif de Versailles a validé la victoire de Fabien Aufrechter à Verneuil
- Triel : Déjà cinq mois d’une nouvelle mandature
- Parc municipal de Triel : retombons sur terre !
- Les Muriautins plébiscitent la liste renouvelée de François Garay
- Retour sur une soirée d’élection à Triel, juste avant la nuit
- Cédric Aoun est devenu maire de Triel-sur-Seine
- Eddie Aït, haut la main !
- Villennes : une victoire très serrée pour Jean-Pierre Laigneau