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Le ministre Jean-Noël Barrot visite l’édition 2022 du Paris Games Week : Restart

par | 5 novembre 2022 | Asso­cia­tions, Culture, Éco­no­mie, gpseo, Sport

Le Ministre Jean-Noël Bar­rot, très concen­tré, entrain de jouer à la Nin­ten­do Switch sur le stand de Nin­ten­do (Pho­to J2R)

Du 2 au 6 novembre 2022, c’est le grand retour de la Paris Games Week, ou la PGW, à Paris Expo-Porte de Ver­sailles. C’est le ren­dez-vous euro­péen, en France, du « gaming » et du Esport. Ce salon du jeu vidéo à la fran­çaise est orga­ni­sé par le S.E.L.L. (Syn­di­cat des Édi­teurs de Logi­ciels de Loi­sirs) et il s’est tenu, uni­que­ment, dans le hall 1 de Paris Expo-Porte de Ver­sailles. Un détail sur lequel, l’article va reve­nir. Cela fai­sait 3 ans que cette grande messe du jeu vidéo ne s’était pas tenue et lors de la visite du jour­nal, le 3 novembre, M. Jean-Noël Bar­rot, Ministre délé­gué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Sou­ve­rai­ne­té indus­trielle et numé­rique, char­gé de la Tran­si­tion numé­rique et des télé­com­mu­ni­ca­tions, était pré­sent.

La France compte, à l’heure actuelle, 37,4 mil­lions de joueurs. Ce la revient à dire que 7 Fran­çais sur 10 jouent aux jeux vidéo, quelque soit le sup­port.
Alors lorsque le salon euro­péen du jeu vidéo, qu’est la Paris Games Week (PGW), revient après 3 ans d’absence, il est évident que le public est au ren­dez-vous.

Pour­quoi « Res­tart » ?

La per­sonne qui pré­sente le mieux l’importance cette édi­tion 2022, sous-titrée « Res­tart », est Mme Julie Chal­mette, Pré­si­dente du S.E.L.L, ou Syn­di­cat des Édi­teurs de Logi­ciels de Loi­sirs. Cette der­nière a décla­ré que «  la Paris Games Week fait son retour, et place son édi­tion 2022 sous un signe évo­ca­teur : « RESTART » ! Et pour cause : c’est un redé­mar­rage à plus d’un titre, puisqu’au-delà̀ du retour du salon en lui-même, l’industrie du jeu vidéo a beau­coup évo­lué́ depuis 2019.
Le jeu vidéo était déjà̀ l’un des pre­miers loi­sirs numé­riques des Fran­çais : la période que nous venons de vivre, mar­quée par les confi­ne­ments et le besoin d’évasion, a ren­forcé sa posi­tion en tant que média pri­vi­lé­gié des jeunes, mais aus­si de toute la famille.
 »
Pour faire simple, le ren­dez-vous mon­dial du « gaming » est le « Elec­tro­nic Enter­tain­ment Expo », ou « Expo de diver­tis­se­ments élec­tro­niques » en fran­çais, qui se tient aux États-Unis d’Amérique, que tous les gamers connaissent sous le nom de l’E3. Juste après, c’est Paris Games Week. Là aus­si, il faut lais­ser la parole à la pré­si­dente du S.E.L.L : « La Paris Games Week pro­met d’être, cette année encore, la vitrine du jeu vidéo. La vitrine de ce média tou­jours plus fédé­ra­teur, tou­jours plus appré­cié́ par-delà̀ les géné­ra­tions, les genres et les classes sociales. La vitrine de ce ter­rain fer­tile que repré­sente la France pour le jeu vidéo, forte de son éco­sys­tème struc­turé, foi­son­nant et talen­tueux, des plus gros édi­teurs jusqu’aux stu­dios indé­pen­dants.
La Paris Games Week est heu­reuse d’ouvrir à nou­veau ses portes au plus grand nombre : aux enfants et aux familles, aux gameurs et aux gameuses, aux joueurs occa­sion­nels et aux « hard­core » gamers. Toutes et tous pour­ront y expé­ri­men­ter le jeu vidéo sous toutes ses formes, et célé­brer ce média incon­tour­nable et inter­gé­né­ra­tion­nel, dans une ambiance convi­viale et fes­tive.
 »

117 expo­sants dans un seul hall

Pour cette édi­tion 2022, la PGW a ras­sem­blé 117 expo­sants dans un seul et unique hall de Paris Expo-Porte de Ver­sailles, le hall 1, du 2 au 6 novembre de 8h30 à 18h30. Lors des édi­tions pré­cé­dentes, le salon était répar­ti sur trois halls. Mais fina­le­ment, la ges­tion des visi­teurs fut bonne. La visite de la PGW s’est fait, pour le jour­nal, le jeu­di 3 novembre, en semaine mais durant les vacances. Par expé­rience, il est dif­fi­cile de se mou­voir dans le hall 1 lors du salon, car il accueille les grandes édi­teurs du gaming, mais cela ne fut pas le cas cette année.
Par­mi les 117 expo­sants, il y avait, évi­dem­ment, les trois grands construc­teurs de console : Nin­ten­do, PlayS­ta­tion et Xbox. C’était la pre­mière fois, depuis trois ans, qu’ils étaient réunis dans un seul et même salon.Retour ligne automatique

Les grands édi­teurs de jeux vidéo pré­sents (Pho­to J2R)

Ce salon ras­semble tous les édi­teurs inter­na­tio­naux et fran­çais tels que Ban­dai Nam­co, Cap­com, Plaion, Square Enix ou encore Ubi­soft. Un espace, appe­lé « Jeux Made In France » ras­semble de nom­breux édi­teurs indé­pen­dants et Fran­çais, qui montre à quelle point la France n’est pas à la traine dans ce sec­teur éco­no­mique. D’ailleurs, juste à côté, un vil­lage de stands, dédié aux écoles qui forment les futurs gra­phistes ou déve­lop­peurs Fran­çais, était ins­tal­lé là.
L’ensemble de ces expo­sants sont venus avec de larges cata­logues de jeux très « appré­ciés et atten­dus, déjà sor­tis ou à venir, et jouables manette en main sur le salon », comme les orga­ni­sa­teurs l’ont pré­ci­sé.

Un ministre consom­ma­teur

Durant la PGW, les visi­teurs ont croi­sé, dans les allées, les ani­ma­teurs de la chaîne GAME ONE (chaîne qui parle énor­mé­ment de gaming ou de rétro­ga­ming) comme Mar­cus, des joueurs d’Esport célèbres (prin­ci­pa­le­ment pour les ini­tiés) et des ministres.

Mar­cus et l’équipe de Game One (Pho­to J2R)

M. Jean-Noël Bar­rot, Ministre délé­gué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Sou­ve­rai­ne­té indus­trielle et numé­rique, char­gé de la Tran­si­tion numé­rique et des télé­com­mu­ni­ca­tions, était pré­sent lors de la deuxième jour­née de la PGW. Il a fait le tour des stands avec son équipe, s’arrêtant quelques fois pour jouer. Il s’est d’ailleurs arrê­té sur le gigan­tesque stand de Nin­ten­do, où il a été ini­tié au manie­ment de la manette de la console Switch. Puis il est repar­ti à tra­vers les allées de la PGW.

M. Jean-Noël Bar­rot, Ministre délé­gué char­gé de la Tran­si­tion numé­rique et des télé­com­mu­ni­ca­tions en visite dans le salon (Pho­to J2R)

(M. Jean-Noël Bar­rot, Ministre délé­gué char­gé de la Tran­si­tion numé­rique et des télé­com­mu­ni­ca­tions en visite dans le salon (Pho­to J2R))

De nom­breuses ani­ma­tions pour tous les publics

La PGW, mal­gré le fait qu’elle était concen­trée dans un seul hall, a offert de nom­breuses ani­ma­tions. Elle avait même un espace pour les plus jeunes : PGW JUNIOR.

L’ espace PGW Junior (Pho­to J2R))

Le salon per­met de nom­breux ren­dez-vous liés au Esport comme « La Coupe de France de League of Legends », dont les demi-finales sont orga­ni­sées dans le salon les 5 et 6 novembre.
L’éditeur SQUARE ENIX y don­nait l’accès à Fors­po­ken et CRISIS CORE – FINAL FANTASY VII REUNION à tes­ter en exclu­si­vi­té durant la PGW.
L’éditeur Ban­dai a don­né l’accès à une large sélec­tion de titres de jeux, à une zone dédiée aux tour­nois et aux démons­tra­tions « live ».

Les 5 et 6 novembre, des concours sont orga­ni­sés comme le concours Xbox Game Pass et les qua­li­fi­ca­tions pour la Coupe de France de Cos­play.

Deux visi­teurs dans des cos­plays de per­son­nages de gaming (Pho­to J2R)

Le cos­play est aus­si uti­li­sé par les édi­teurs de jeux pour faire vivre leurs per­son­nages.

La PGW n’échappe pas à sa dimen­sion com­mer­ciale et de nom­breux stands de pro­duits infor­ma­tiques, de esports, de gaming et déri­vés sont pré­sents pour vendre : T‑shirt, tapis de sou­ris, gourde, cas­quette, porte-clés.…

Cette édi­tion « Res­tart » de la PGW marque le retour de cette grande messe euro­péenne du gaming pour le plus grand plai­sir des gamers.

 

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